L’un de nos équipiers de Rivière-du-Loup a participé pour la première fois de sa vie au Marathon de Boston. Initié à la course depuis seulement 5 ans, Jean-Robert Boudreau aura déjà réalisé son 4e marathon en carrière! Depuis maintenant 14 ans, il est équipier chez Premier Tech comme gestionnaire d’une équipe d’ingénierie spécialisée en systèmes robotiques.
De néophyte à marathonien
Il y a 5 ans, des amis et coéquipiers coureurs l’ont influencé et lui ont donné la piqure de ce sport. C’est d’ailleurs lors d’une activité de commémoration de la tragédie du Marathon de Boston en 2013 qu’il a goûté à la course pour la première fois. Pour l’occasion, les louperivois étaient invités à courir durant 42 minutes pour symboliser les quelque 42 km d’un marathon.
« J’ai réalisé que j’avais tenu tout ce temps à une assez bonne vitesse et que j’avais quand même fait une bonne distance. Je n’avais jamais couru de ma vie, je trouvais que ça avait l’air tellement plate! Mais à partir du jour où j’ai commencé, j’ai eu un déclic et je n’ai jamais arrêté. C’est devenu une passion », explique le marathonien avec beaucoup d’enthousiasme.
Pour atteindre ce niveau, Jean-Robert a évidemment dû gravir quelques échelons. Aussi peu que 3 semaines après sa première expérience, il a pris part à une course de 5 km lors du Tour de la Pointe de Rivière-du-Loup! Il a ensuite couru un demi-marathon l’été même, pour compléter, un an plus tard, son tout premier marathon à Ottawa. Comme quoi lorsqu’on a un but précis en tête, on peut l’atteindre avec beaucoup d’efforts et probablement aussi un peu de sueur!
Son objectif : réussir à compléter la distance de presque 42,2 km dans les rues de Boston, en compagnie de 32 000 autres coureurs.
Toujours plus loin
Au regard de son évolution sportive, Jean-Robert est de tout évidence un homme de défis et ce, même dans son travail. En effet, l’équipier a joint l’entreprise dans le domaine de l’ingénierie. Grâce à son leadership, on lui a confié un rôle de gestion d’équipe quelques années plus tard. Son mandat consiste donc à coordonner, organiser et gérer la réalisation des projets de cellules robotisées qui sont ensuite vendues à différents clients partout en Amérique du Nord. Ça en fait des choses à gérer!
Évidemment, la persévérance et la rigueur sont de mise lorsqu’il dirige des projets de cette envergure, tout comme c’est le cas en course. Chaque semaine, il s’entraîne de quatre à cinq fois, joue au hockey avec d’autres coéquipiers et s’adonne même au ski de fond l’hiver. Une vie remplie pour un sportif infatigable!
« Il faut être persévérant et assidu dans les entraînements, sinon on n’aura pas de résultats. Un marathon, ça se passe aussi beaucoup dans la tête : après les premiers 25 km, il faut se parler à soi-même. Ce qui me tient, c’est de penser que je vais traverser la ligne d’arrivée et à la fierté d’avoir terminé qui fait oublier la douleur des 42 km », précise Jean-Robert, les pieds à Rivière-du-Loup mais la tête déjà à Boston.
Depuis l’année dernière, il fait même partie du Club Filoup, où il a la chance de partager sa passion avec d’autres coureurs. « Ça me motive beaucoup plus de courir en groupe », poursuit-il. Comme chez Premier Tech, c’est manifestement l’équipe qui fait la force!
Vers une nouvelle voie
Avide de nouvelles aventures, Jean-Robert semble déjà décidé à mettre le marathon de côté après celui de Boston, mais il n’arrêtera pas la course pour autant! Il prévoit plutôt essayer les compétitions de cross-country et s’en tiendra probablement aux demi-marathons plutôt qu’à la distance complète.
« J’ai déjà fait une compétition de cross-country dans Charlevoix et j’ai trouvé que c’était moins difficile mentalement et physiquement. C’est différent, le temps n’est pas aussi important et ça passe vite puisqu’on doit toujours surveiller où on met les pieds », conclut-il.
Vous pratiquez aussi la course à pied et vous aimeriez joindre les coureurs passionnés de chez Premier Tech? Il faut d’abord postuler au www.premiertech.com/fr/recherche-emploi!
